Dans cet article je vais vous présenter le grand principe phare de la sophrologie : la vivance ! Toute la pratique à pour but de vivre cette expérience là. La vivance c’est quoi ? On peut simplement dire que c’est vivre la vie en soi !
Je suis ostéopathe et pour moi la vie du corps est une réalité, c’est magique ! Je me suis souvent dit : « ah si les gens pouvaient se rendre compte qu’il y a vraiment de la vie en eux et même une petite conscience cellulaire qui travaille en eux tout le temps ! » Et aujourd’hui je suis heureuse car j’ai une bonne nouvelle !
La bonne nouvelle c’est que vous pouvez grâce à la pratique de la sophrologie, rencontrer cette magie de la vie dans votre corps, par vous-même ! Hé bien oui !
Vivre la magie de son corps, c’est possible !
Ce qui me permet d’avancer ces propos, c’est qu’en me formant à la sophrologie, j’ai découvert que sa pratique permettait d’apprendre à l’humain à entrer en lui et dans la vie de son corps. Et ce, de manière très profonde ! Vivre le corps, sa verticalité, vivre sa peau, ses tissus, ses muscles, ses os, ses cellules, jusqu’à ses molécules ! Ajouter à cela le vécu de toute la conscience, la vie qui sous-tends ces éléments, qui ne sont pas des minéraux inertes.
Vivre cela, c’est magique et source d’une vraie harmonie…
Je recommande et j’aime la sophrologie car c’est une méthode d’introspection rigoureuse et fiable. Elle permet à tous d’accéder à de beaux ressentis (et de se rapprocher de la méditation en douceur), en toute sécurité. On peut retrouver cette simplicité, rigueur et sécurité dans les trois définitions de la sophrologie que je vais vous proposer ci-dessous :
La sophrologie c’est simple !
Car c’est simplement « La vie vécue dans le corps« . C’est la première définition que je donnerai de la sophrologie. Cette notion de « vie vécue », se nomme en sophrologie : la Vivance. Cette notion est essentielle, car toute pratique en sophrologie doit permettre cette expérience. C’est simple car tout le monde peut vivre cela ! Cela commence par une sensation de vie, de chaleur, de circulation, de picotement… et plus il y a pratique et plus les vivances deviennent riches, individuelles, profondes. C’est une démarche de connaissance de soi ou de dévoilement de sa conscience, comme nous aimons le dire en sophrologie.
La sophrologie c’est que du positif !
La deuxième définition phare que je donnerai à la sophrologie c’est : « se transformer par le vécu du positif ! ». En effet, le principe de transformation de soi en sophrologie est basé sur le vécu intense du positif en soi. Et c’est vrai que nous avons tellement tendance à voir que ce qui ne va pas (c’est le fonctionnement automatique du cerveau!), alors inverser cette vapeur offre une grande dignité.
Avec la sophrologie, on garde les pieds sur terre !
La troisième définition que je donnerai serait : « C’est la recherche de la réalité vécue ». On se concentre sur le positif d’accord, mais le tout est de ne pas avoir des lunettes roses non plus ! Il y a cette rigueur dans la méthode en sophrologie qui nous demande d’aller toujours chercher le vécu réel, la vie et de le nommer avec précision. Cette rigueur là bien appliquée évite de planer sans sa sphère intello, ce qui peut vite nous mener à des illusions et nous couper finalement de la vraie vie et de son processus évolutif. Et cet effort de toujours chercher ce qui est vrai et vivant, vécu réellement, permet comme une union de la conscience et de la vie. Vivre cela peut amener à des vécus qui vont beaucoup plus loin, qu’une sensation de bien-être !
Partage du vécu de la vie en moi…
Afin d’illustrer mes propos je vais vous partager ce que j’ai écrit suite à une sophrologie. C’était suite à une technique qui s’appelle « Manence et rétromanence des capacités ». Grace à cet exercice j’ai eu l’impression d’aller dans mes profondeurs intérieures, comme si je plongeait dans un océan. Cela m’a permis d’aller découvrir mes capacités intérieures (biologiques) et de les faire remonter à la surface.
« Dans la manence, au plus profond de mon être, j’ai entendu réellement de la musique classique. Cette musique orchestrait mes cellules et des groupes cellulaires en harmonie. Je vivais ainsi l’homéostasie ou l’équilibre de mon corps en bonne santé ! Je me ressentais en tant que conscience, esprit, unie à la force mystérieuse qui est l’origine des mouvements et de la vie en moi… »
Ce vécu a été très puissant et m’a amené à approfondir ce travail avec la dimension des sons en sophrologie. Ces méthodes permettent d’explorer ces profondeurs de l’être et effectuer un travail de recherche intérieur afin de comprendre (et surtout de vivre!) les différences subtiles entre ce qu’est : l’être, la conscience, l’esprit et l’âme en soi… Ce travail c’est un autre volet de la sophrologie qui en tant que science permet d’étudier la conscience humaine. Comme quoi cette méthode a une dimension très profonde que l’on ne soupçonne souvent pas au départ !
Elisa pour SophroEclosions